Le
Gottferdom Studio est un atelier regroupant des scénaristes, des dessinateurs et coloristes de
bandes dessinées. Les auteurs se regroupent pour partager les différents frais du local.
Historique
Créé fin août 1997 par
Christophe Arleston,
Didier Tarquin,
Dominique Latil et Philippe Pellet, le Gottferdom Studio occupe alors 120 m² au coeur du vieil
Aix, au 16 rue Portalis. Deux grandes pièces, une cuisine, une salle de bains et une petite cour : c'est le bonheur pour ces auteurs qui en avaient marre de rester chacun chez soi ! Des auteurs passent, s'installent, d'autres repartent, Gottferdom reste comme un coeur vivant de la BD.
En 2002, ils sont près de douze, dessinateurs scénaristes et coloristes, à s'entasser dans les deux pièces de la rue Portalis, ce n'est plus possible. Grand déménagement vers un autre coin du vieil Aix, 20 rue Fermée. Gottferdom Next Generation occupe désormais 250 m², répartis en une grande pièce commune et plein de petits bureaux indépendants. Pour l'occasion, Soleil presse embauche une secrétaire de rédaction pour Lanfeust Mag, qui gère également l'accueil de l'atelier. Mais l'esprit Gottferdom demeure plus que jamais, de tournois de fléchettes en fêtes d'Halloween, avec parfois des pauses pour travailler un peu...
Ils travaillent toujours à Gottferdom
- Christophe Arleston (1997 - ?)
- Dominique Latil (1997 - ?)
- Simon van Liemt (1999 - ?)
- François Amoretti (2007 - ?)
- Rémi Torregrossa (2007 - ?)
- Mélanie Turpyn (2000 - ?)
- Audrey Alwett (2007 - ?)
- Augustin (2005 - ?)
Satellites proches de Gottferdom
Visiteurs fréquents de Gottferdom
Albums du collectif
- 1. Le Fainéant des Anneaux (12/2004)
- 2. Harry Pottarquin (11/2005)
- 3. La Flemme des Étoiles (12/2006)
Anecdote
Gottferdom (Dieu damne) vient de l'expression alsacienne
Gott ferdom mi !, littéralement
Dieu damne-moi ! - le
encore une fois étant là une marque de soulignement -, en allemand
Verdammt noch mal ! (Damné encore fois !), en anglais
Damned ! (Damné !). Équivalent à "Nom de Dieu !".
Gottferdom ! Je suis touché ! (phrase extraite d'un album de Lanfeust)
Liens externes